Comment accueillir une mauvaise nouvelle ?
Tout au long de notre vie, nous sommes confrontés à des mauvaises nouvelles, et elles peuvent survenir dans différents aspects de notre existence : que ce soit dans le cadre des études, de la recherche d’emploi ou de la vie personnelle. Ces moments peuvent être particulièrement difficiles à gérer, car ils nous mettent souvent face à des émotions intenses et inconfortables. Les mauvaises nouvelles font partie de la condition humaine. Personne n’est à l’abri de recevoir des nouvelles décevantes ou perturbantes. Par exemple, dans le cadre des études, un étudiant peut échouer à un examen important malgré ses efforts. Dans le domaine professionnel, on peut se voir refuser un emploi pour lequel on pensait être parfaitement qualifié. Et dans la vie personnelle, des événements comme la maladie, une rupture amoureuse, ou des problèmes de santé peuvent survenir à tout moment.

La réaction face aux mauvaises nouvelles
Comment nous réagissons aux mauvaises nouvelles dépend de nombreux facteurs, y compris notre personnalité, nos expériences passées et notre réseau de soutien. Certaines personnes peuvent être plus résilientes et capables de rebondir rapidement, tandis que d’autres peuvent avoir besoin de plus de temps et de soutien pour surmonter les difficultés. La clé pour bien accueillir une mauvaise nouvelle est souvent d’adopter une approche proactive et de chercher des stratégies pour gérer ses émotions et trouver des solutions. Sincèrement, je ne suis vraiment pas le mieux placé pour donner des conseils, mais je vais essayer de poser quelques astuces qui m’ont aidé. Ne serait-ce que de savoir que nous sommes nombreux à y être confronté, peut peut-être simplement aider.
Car OUI, recevoir une mauvaise nouvelle est une expérience universelle, et chacun de nous y fait face à un moment ou un autre de sa vie. Les mauvaises nouvelles peuvent survenir dans différents contextes : études, recherche d’emploi, vie personnelle. Ces situations peuvent provoquer des réactions émotionnelles intenses, allant de la tristesse à la colère, en passant par la frustration et l’inquiétude. Dans les études, par exemple, un étudiant peut se retrouver confronté à un échec à un examen malgré des heures de révision. Ce type de mauvaise nouvelle peut ébranler sa confiance en ses capacités académiques et susciter des doutes sur son avenir scolaire. Dans la recherche d’emploi, il n’est pas rare de recevoir des lettres de refus après des entretiens d’embauche. Cela peut entraîner un sentiment de rejet et une remise en question de ses compétences, ce qui peut affecter la motivation à continuer à chercher un emploi. Dans la vie personnelle, les mauvaises nouvelles peuvent être encore plus dévastatrices, comme la maladie, une rupture amoureuse ou des problèmes de santé. Ces événements peuvent provoquer un profond sentiment de perte et nécessitent souvent une longue période de deuil et d’adaptation.
Face à ces situations, il est important de savoir comment accueillir et gérer ces nouvelles de manière constructive. Et on va se le dire clairement, ce n’est pas facile !
Acceptation et validation des émotions
La première étape pour bien accueillir une mauvaise nouvelle est de reconnaître et de valider ses émotions. Ignorer ou réprimer ses sentiments peut sembler tentant, mais cela risque d’aggraver la détresse à long terme.
- Il est important de prendre un moment pour identifier précisément ce que vous ressentez. Par exemple, si vous avez échoué à un examen, vous pouvez ressentir de la déception, de la frustration et peut-être même de la colère contre vous-même. Mettre des mots sur vos émotions permet de mieux les comprendre.
- Une fois que vous avez identifié vos émotions, acceptez-les comme légitimes. Il est normal de se sentir triste ou en colère après une mauvaise nouvelle. Se donner la permission de ressentir ces émotions sans se juger est un pas important vers la guérison.
- Trouvez des moyens sains d’exprimer ce que vous ressentez. Parler de vos émotions avec quelqu’un en qui vous avez confiance peut être très bénéfique. Vous pouvez également écrire dans un journal ou utiliser des moyens créatifs comme le dessin ou la musique pour exprimer vos sentiments.
Techniques de résilience
La résilience est la capacité à rebondir après des difficultés. Renforcer cette compétence vous aidera à mieux gérer les mauvaises nouvelles et à en sortir plus fort. Voici quelques techniques pratiques :
La pleine conscience vous aide à rester ancré dans le moment présent sans jugement. Prendre quelques minutes chaque jour pour pratiquer la méditation ou la respiration profonde peut réduire le stress et améliorer votre capacité à gérer les émotions négatives. Asseyez-vous confortablement, fermez les yeux et concentrez-vous sur votre respiration. Inspirez profondément par le nez, puis expirez lentement par la bouche. Répétez ce cycle pendant cinq à dix minutes en laissant passer vos pensées sans y attacher d’importance. Il existe de nombreuses applications gratuites de “cohérence cardiaque“.
Entourez-vous de personnes positives et compréhensives. Le soutien des amis, de la famille ou même de groupes de soutien peut être d’une grande aide pour traverser des moments difficiles. Ne pas hésiter à demander de l’aide est une force, pas une faiblesse. Parlez de ce que vous traversez avec un ami proche. Partager vos sentiments peut alléger votre fardeau et vous aider à voir la situation sous un autre angle.
Il est important de prendre du recul et de voir la situation dans son ensemble. Une mauvaise nouvelle peut sembler accablante sur le moment, mais en prenant du recul, vous pouvez réaliser que ce n’est qu’une étape dans votre parcours. Si vous avez échoué à un examen, rappelez-vous que cet échec ne définit pas votre avenir. Utilisez cette expérience comme une opportunité d’apprendre et de vous améliorer.

Planification et action
Pour bien gérer une situation difficile, on peut commencer par une évaluation objective. Prenez le temps d’analyser les faits. Qu’est-ce qui s’est passé exactement ? Quelles sont les implications à court terme et à long terme ? Comprendre pleinement la situation est crucial pour élaborer un plan d’action approprié. Par exemple, si vous avez échoué à un examen, identifiez précisément les domaines où vous avez eu des difficultés. Peut-être avez-vous besoin de revoir certaines notions fondamentales ou d’adopter de nouvelles techniques de révision.
Ensuite, il est important de se fixer des objectifs concrets et atteignables pour surmonter la situation. Décomposez ces objectifs en étapes plus petites pour rendre le processus plus gérable et moins intimidant. Si votre objectif est de réussir à l’examen la prochaine fois, divisez cet objectif en tâches spécifiques comme la révision quotidienne, la participation à des groupes d’étude et la consultation de ressources supplémentaires. Ces petites étapes rendront le grand objectif plus accessible et vous permettront de progresser de manière régulière.
Une fois que vous avez établi vos objectifs, il est temps de passer à l’action de manière proactive. Cela peut impliquer de demander de l’aide, de suivre des cours supplémentaires ou de développer de nouvelles compétences. Par exemple, inscrivez-vous à des séances de tutorat pour obtenir de l’aide sur les sujets que vous trouvez particulièrement difficiles. Utilisez également des ressources en ligne pour renforcer vos connaissances et participez à des discussions avec vos camarades de classe pour partager et clarifier vos idées.
Exemples célèbres
Pour se rassurer un peu, voici quelques histoires personnelles et exemples de personnes connues qui ont surmonté des défis et on rebondi plus haut encore.

Steve Jobs
L’histoire de Steve Jobs, co-fondateur d’Apple, est un exemple marquant de résilience face à l’adversité. En 1985, Jobs a été licencié de sa propre entreprise. Plutôt que de se laisser abattre, il a accepté cette nouvelle comme une opportunité de réinvention. Jobs a fondé NeXT, une entreprise de technologie qui a été rachetée par Apple en 1997, ce qui l’a conduit à revenir à la tête de l’entreprise.
J.K. Rowling
Avant de devenir l’auteure mondialement connue de la série Harry Potter, J.K. Rowling a traversé des périodes de dépression et de pauvreté. Après plusieurs refus par des éditeurs, elle a continué à croire en son travail. La validation de ses émotions et le soutien de ses proches l’ont aidée à persévérer. Finalement, son manuscrit a été accepté, et le reste appartient à l’histoire.
Nelson Mandela
L’exemple de Nelson Mandela est emblématique. Emprisonné pendant 27 ans pour son opposition à l’apartheid en Afrique du Sud, Mandela a su transformer cette période difficile en un temps de réflexion et de préparation pour un avenir meilleur. Il a utilisé des techniques de résilience, comme la méditation et le maintien de relations sociales, pour se fortifier mentalement. À sa libération, Mandela a dirigé la transition pacifique vers une démocratie multiraciale.
Et nous avons même des exemples célèbres d’échecs qui se sont transformés en succès
Oprah Winfrey
Avant de devenir la célèbre présentatrice et productrice que l’on connaît aujourd’hui, Oprah Winfrey a été licenciée de son premier poste de journaliste télévisée. On lui avait dit qu’elle n’était pas faite pour la télévision. Ce refus l’a poussée à chercher d’autres opportunités, ce qui l’a menée à créer son propre talk-show, “The Oprah Winfrey Show”, qui est devenu l’un des programmes les plus influents de l’histoire de la télévision.
Walt Disney
Walt Disney a été licencié par un éditeur de journal pour “manque d’imagination et de bonnes idées”. Par la suite, Disney a fondé sa propre entreprise et a créé des personnages emblématiques et des parcs à thème qui sont devenus des piliers de l’industrie du divertissement.
Thomas Edison
Avant d’inventer l’ampoule électrique, Thomas Edison a subi de nombreux échecs. On raconte qu’il a effectué plus de 10 000 essais infructueux avant de réussir à créer une ampoule fonctionnelle. Edison lui-même disait : “Je n’ai pas échoué. J’ai simplement trouvé 10 000 façons de ne pas inventer l’ampoule.”
Michael Jordan
Connu comme l’un des plus grands joueurs de basketball de tous les temps, Michael Jordan a été coupé de son équipe de basketball au lycée. Plutôt que de se laisser décourager, il a utilisé ce rejet comme une motivation pour travailler encore plus dur. Cette détermination l’a conduit à une carrière légendaire dans la NBA, où il a remporté six championnats et a été cinq fois nommé MVP (Most Valuable Player).
Comment réagir lorsqu’une personne nous apprend une mauvaise nouvelle
Lorsqu’on apprend une mauvaise nouvelle, il est normal de ressentir une variété d’émotions intenses. La première étape est d’accepter et de valider ces émotions sans essayer de les refouler. Par exemple, si vous ressentez de la tristesse, de la colère ou de l’anxiété, reconnaissez ces sentiments et dites-vous que c’est normal de ressentir cela dans une telle situation. Prendre le temps de vraiment comprendre ce que vous ressentez peut être libérateur. Ensuite, il est important de ne pas réagir de manière impulsive. Prenez quelques instants pour respirer profondément et calmer votre esprit. Cela peut vous aider à éviter des réactions hâtives que vous pourriez regretter plus tard. Par exemple, si vous avez reçu une mauvaise nouvelle concernant votre travail, prendre quelques minutes pour respirer profondément peut vous aider à répondre de manière plus posée et réfléchie plutôt que par la panique ou la frustration.
Après avoir pris ce temps pour vous calmer, essayez d’analyser objectivement la situation. Quels sont les faits précis ? Quelles sont les implications à court et à long terme ? En comprenant pleinement la situation, vous pourrez mieux déterminer les prochaines étapes. Par exemple, si vous avez échoué à un examen important, identifiez précisément les domaines où vous avez eu des difficultés afin de savoir où concentrer vos efforts pour la prochaine fois. Il est également utile de se fixer des objectifs concrets pour surmonter cette situation difficile. Ces objectifs doivent être réalistes et atteignables. Décomposez-les en petites étapes pour rendre le processus plus gérable. Par exemple, si votre objectif est de réussir à l’examen la prochaine fois, vous pouvez commencer par réviser un peu chaque jour, rejoindre un groupe d’étude ou consulter des ressources supplémentaires pour renforcer vos connaissances.
Passer à l’action de manière proactive est une autre stratégie clé. Cela peut inclure demander de l’aide, suivre des cours supplémentaires ou développer de nouvelles compétences. Par exemple, si vous trouvez certains sujets particulièrement difficiles, inscrire à des séances de tutorat peut vous fournir le soutien dont vous avez besoin pour réussir. Utiliser des ressources en ligne et participer à des discussions avec vos camarades de classe peut également enrichir votre compréhension des sujets complexes. Parfois, il est également important de rechercher un soutien émotionnel et social. Parler de ce que vous ressentez avec des amis proches ou des membres de votre famille peut offrir un réconfort et une perspective extérieure précieuse. Si la situation est particulièrement grave, envisager de consulter un professionnel, comme un conseiller ou un psychologue, peut être extrêmement bénéfique. Un professionnel peut vous fournir des outils et des stratégies pour mieux gérer vos émotions et surmonter la situation.
Enfin, il est essentiel de prendre soin de vous. Assurez-vous de bien manger, de faire de l’exercice régulièrement et de vous accorder suffisamment de repos. Prendre soin de votre corps peut avoir un impact positif sur votre esprit et vous aider à mieux gérer le stress.

Le quotidien d’un chercheur : un parcours semé d’embûches et d’échecs inévitables
Être chercheur, c’est comme naviguer sur une mer agitée en permanence. Chaque jour, nous faisons face à des défis qui peuvent sembler invisibles aux yeux de ceux qui ne sont pas dans le domaine. Imaginez travailler sur un projet pendant des mois, parfois des années. Vous mettez tout votre cœur et votre esprit dans vos recherches. Vous rédigez un article avec soin, espérant qu’il sera reconnu par vos pairs. Et puis, vous le soumettez à une revue scientifique. L’attente commence. Les semaines passent, puis vous recevez enfin un retour. Malheureusement, c’est souvent une mauvaise nouvelle. Les refus sont fréquents, et les commentaires des évaluateurs peuvent être sévères, voire décourageants. On vous demande de revoir et de corriger de nombreux aspects de votre travail. Chaque refus, chaque commentaire négatif, c’est un coup dur. Mais vous ne baissez pas les bras. Vous retravaillez votre article, vous le soumettez à nouveau. La résilience est de mise.
Ensuite, il y a l’évaluation par les étudiants. Dans un monde idéal, ces évaluations seraient basées uniquement sur la qualité de votre enseignement. Mais souvent, les étudiants vous évaluent en fonction de leurs résultats. Si un étudiant n’a pas les notes qu’il espérait, il peut vous en tenir responsable. Cela peut être frustrant, surtout quand vous savez combien d’efforts vous avez investis pour rendre vos cours intéressants et enrichissants. La solitude est une autre réalité de la vie de chercheur. Même si vous travaillez dans une université entourée de collègues et d’étudiants, une grande partie de votre travail se fait seul. Vous passez des heures dans votre bureau ou votre laboratoire, plongé dans vos recherches, loin de toute interaction sociale.
Les courriels non répondus sont aussi un grand classique. Vous envoyez des demandes de collaboration, des suivis avec des éditeurs, des questions administratives. Et souvent, vous attendez des réponses qui ne viennent pas. Chaque courriel non répondu est une pierre d’achoppement qui peut ralentir vos progrès et augmenter votre stress. Obtenir des financements pour vos projets de recherche est un autre défi de taille. Les demandes de subventions nécessitent des propositions détaillées et bien argumentées. Vous y passez des semaines, voire des mois, et parfois, les réponses se font attendre. Lorsque le financement est refusé, c’est un énorme revers. Et puis, il y a les demandes de certificats d’éthique. Chaque recherche impliquant des participants humains doit passer par un comité d’éthique. Ce processus est essentiel, mais il peut être long et compliqué, ajoutant une couche supplémentaire de stress et de travail.
La collecte de données pour vos recherches est souvent une aventure en soi. Que ce soit sur le terrain ou en laboratoire, vous devez constamment vous adapter aux imprévus et aux contraintes des autres. Par exemple, si vous faites une étude sur le comportement humain, vous dépendez de la disponibilité des participants. Si vous travaillez avec des échantillons biologiques, les conditions environnementales peuvent affecter vos résultats. Chaque obstacle nécessite de la flexibilité et de la créativité pour trouver des solutions.
Faire reconnaître votre travail et vos connaissances par la communauté scientifique et le grand public est un défi constant. Vous pouvez passer des années à travailler sur un projet révolutionnaire, mais la reconnaissance ne vient pas toujours immédiatement. Vous devez publier vos résultats, participer à des conférences, et vous faire un nom dans votre domaine. Cela demande du temps, de la persévérance et une certaine dose de patience. Et puis souvent à la fin c’est non quand même. On vous répond que l’on a bien réfléchi, mais c’est toujours non sans donner davantage d’explications. Les courriers sont souvent laconiques quand ils arrivent enfin ! C’est très injuste, mais il faut vraiment faire avec.
Malgré toutes ces difficultés, il y a des moments de grande satisfaction. Quand vous parvenez à faire avancer la science, même modestement, c’est une victoire. Chaque publication acceptée, chaque projet de recherche mené à bien, chaque reconnaissance par vos pairs, c’est une récompense immense. Ces moments de réussite, bien que rares et espacés, valent tous les sacrifices consentis. Amis chercheurs et chercheuses, je suis admiratif et je vous aime ! Votre persévérance, votre passion et votre dévouement à la quête de la connaissance sont inestimables. Merci vraiment.
PS : Témoignage tout personnel
Je sais que ce ne sont pas forcément des conseils universels, voire même que ce sont de mauvais conseils, mais dans des périodes difficiles, certaines stratégies m’ont vraiment aidé. J’ai notamment pris la décision de me couper des personnes toxiques. Celles qui, consciemment ou inconsciemment, m’entraînent vers le bas, n’ont plus de place dans ma vie. Cette décision m’a permis de retrouver un espace mental plus sain et de me concentrer sur des relations positives. De la même manière, j’ai modifié mon approche des réseaux sociaux. Lorsque je lis des commentaires qui me mettent en colère, je ne réponds plus. Au lieu de cela, je bannis la personne pour m’assurer de ne plus jamais voir ses messages. Cela a réduit mon stress et m’a aidé à maintenir une atmosphère plus sereine en ligne.
Apprécier le silence et apprendre à me taire a également été une révélation. Parfois, il est plus bénéfique de ne pas réagir immédiatement et de prendre du recul. Le silence peut être puissant et apaisant, offrant un espace pour la réflexion et la récupération émotionnelle. Je sais que dans un monde idéal, il faudrait accepter tout le monde et faire avec, mais pour vrai, il y a tant de belles personnes et de belles choses à faire que maintenant j’ai décidé de réorienter mes priorités et là où je mets mon énergie. Et je reconnais enfin que mes recherches et mes étudiants me remplissent de ces belles énergies au quotidien, alors je savoure grandement ma chance.
Pour celles et ceux qui sont arrivé.e.s jusqu’ici d’abord merci ! Ensuite je serais vraiment intéressé de connaitre vos propres approches et stratégies, vos trucs et astuces y compris pour aider les autres. Merci
OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
Sebastien KEIFF (31 mai 2024). Comment accueillir une mauvaise nouvelle ? Le blog du papa chercheur. Consulté le 7 juillet 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/11rqm